* Comme d’habitude précipité, tout restait à faire le matin du départ.
Heureusement, comme d’habitude encore, j’ai pu compter sur l’aide précieuse des dames qui m’entourent !
Et comme d’habitude donc, j’étais prêt au moment du départ, sans avoir eu le temps ne serait-ce qu’une minute d’imaginer que je partais seul pour 3 mois au Laos.
* Surprise à l’aéroport : dans la file d’attente pour l’enregistrement vers Londres (1ère étape), je me retrouve en compagnie de cette bonne vieille Julie et d’Hélène qui partaient toutes les deux pour l’Argentine !
Après un vol passé côtes à côtes, nous avons été séparés entre les terminaux 4 et 5 de l’aéroport de Londres par un anglais sympathique.
* Un bref passage à Bangkok en Thaïlande, et me voici 22h plus tard à Vientiane, capitale du Laos.
Après des heures et des heures de climatisation insupportable, le premier pas dehors a posé les bases de la situation : il fait chaud et humide !
Ni plus ni moins la même sensation que dans un hammam, mais dans une mesure raisonnable puisqu’il ne fait que 35°.
Une horde de chauffeurs de taxis se précipite sur moi : ils ne parlent ni anglais, ni français, et ne connaissent pas l’endroit où je veux aller…finalement je me retrouve embarqué je ne sais pas trop comment dans une vieille Toyota rouillée et je prends conscience du principal risque de santé publique au Laos : la circulation.
Il n’y a aucune règle, c’est le grand n’importe quoi, c’est la guerre.
Pour donner une idée de l’esprit, il ne s’est arrêté à aucun feu rouge et nous avons croisé à plusieurs reprises des motos en contre sens.
Arrivé vivant à l’hôtel proche de l’hôpital, j’y passe deux nuits sans dormir (le décalage horaire, à priori…).
mardi 30 juin 2009
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